La serveuse frappe toujours la deuxième fois (1/2)

En vacances en Bulgarie depuis quelques jours avec mon père, son amie et ma sœur, nous arrivons un matin sur la côte pour passer les derniers jours de notre voyage au bord de la mer. Après avoir fait le tour des hôtels pour en choisir un pas trop cher mais pas trop miteux non plus, nous décidons d’aller faire un tour sur la plage avant d’aller déjeuner.

Rien de bien extraordinaire à signaler, des touristes qui se dorent la pilule sous ce soleil estival, entassés les uns sur les autres à perte de vue. Aucun signe ne laisse penser que nous sommes loin de nos plages franchouillardes.

On marche le long de la plage de longues minutes, les pieds dans l’eau, avant d’en apercevoir le bout. Une falaise d’une dizaine de mètres de haut se rapproche petit à petit du bord de la mer jusqu’à venir s’y tremper elle aussi les pieds.

Vu de loin, ça semble très joli, aussi nous décidons d’aller jusqu’au bout, au pied de cette falaise qui surplombe la plage pour admirer ces vagues qui viennent se briser contre son flanc. Plus on avance et moins il y a de monde sur la plage. J’imagine que c’est parce que c’est à l’opposé de la plupart des hôtels…

Mais, en traversant une zone complètement inoccupée je comprends soudain la vraie raison de ce manque de touriste ! Mais il est trop tard pour alerter mon père et ma sœur qui se sont déjà engagés.
Ce petit coin à l’écart en bout de plage où le sable laisse sa place à des galets puis à des gros rochers est en fait une plage naturiste ! Aucun panneau ne vient l’indiquer, il y juste une bande de sable d’une vingtaine de mètres qui sert de séparation tacite entre les naturistes et les « textiles ».

Tout gêné, j’essaye d’être le plus discret possible et d’éviter le regard de la quinzaine de personne qui se trouve de ce côté de la plage, assez âgés pour la plupart. On continue de marcher un peu pour s’éloigner de la plage, ma sœur et mon père qui me précèdent n’ont pas l’air perturbés par leur traversée, en tout cas ils n’en pipent pas mot.
Je m’assieds sur un rocher pour me cacher de la plage, face à la mer. En regardant l’eau je comprends mieux pourquoi il n’y a pas grand monde ici. Il y a par-ci par-là des algues vertes qui flottent sous la surface, empêchant toute baignade dès qu’il y a trop de monde.
Ces algues et cette plage de galet donne une impression de ghetto qui n’intéresse pas les touristes, et dans lequel on aurait parqué les naturistes.

Bon toutes ces considérations faites, il en reste une à laquelle je n’ai pas encore réfléchi. Nous sommes dans un cul de sac, il va donc falloir faire demi-tour tôt ou tard, et plus tôt que tard d’ailleurs puisque la faim commence à pointer le bout de son nez.

Demi-tour donc, en suivant l’exact chemin inverse. J’ose un regard cette fois ci vers le haut de la plage pour avoir une idée du type de personne qu’on y trouve, mais je ne vois qu’Elles.

Elles sont là à quelques mètres de nous, Elles descendent du haut de la plage en gambadant, main dans la main, cheveux aux vents. Elles rayonnent de beauté et de bonheur, je ne peux en détacher mon regard. Elles respirent la joie de vivre.
Le temps s’est comme arrêté, je n’ai plus conscience du monde extérieur, je suis au Paradis et Elles sont deux anges passant devant moi pour aller se jeter dans la fontaine de jouvence. Mais j’y pense, le mont Olympe n’est pas trop loin, ce sont peut être simplement deux nymphes égarées qui viennent d’apercevoir Poséidon dont Elles sont éperdument amoureuses leur faire signe depuis la mer.

Le bruit des vagues venant s’écraser contre les rochers derrière nous me rattrape et me redescends presque sur Terre. En fait je ne suis pas au Paradis, je suis dans un générique d’une série télé, une sublimation d’Alerte à Malibu, dans laquelle les actrices seraient encore plus belles, beaucoup plus naturelles, et surtout seraient complètements nues !
Je vois les deux actrices tenant les rôles principaux, courir au ralenti devant moi avant de se jeter à l’eau pour secourir je ne sais quel petit poisson en danger.

Malheureusement contraint d’avancer, je regarde du coin de l’œil le plus longtemps possible ces merveilleuses créatures batifoler dans l’eau.
Il faudra que je revienne faire un tour ici cette après-midi, seul de préférence.

***

Prétextant une envie de promener plutôt que de faire trempette, je pars seul et je me dirige d’un pas décidé vers le bout de la plage, mon appareil photo à la main.

Seront-Elles toujours là sur la plage, couchées sur leur serviette, exhibant sans tabou leur beauté aux yeux de tous ? Ou n’est ce déjà qu’un lointain souvenir ? Les images de ses deux créatures angéliques me reviennent à l’esprit, le visage juvénile dans des corps de femmes. Leur chevelure brune se soulevant derrière Elles au gré du vent, leur visage aux traits fins traversé par un large sourire, leur fessier aux formes harmonieuses, leurs jambes élancées et leurs mollets bien galbés, leur poitrine ferme et généreuse, leurs poils pubiens bien entretenus dessinant un petit triangle équilatéral au dessus de leur sexe.

Non ce n’est pas possible, seuls les rêves nous ouvrent ce genre de porte et nous permettent de voir de telle merveille. Ces images ne seraient donc qu’un fantasme ?
Je me pince.

— Aie

Non, ce n’est visiblement pas un fantasme. Un coup d’œil au alentour me confirme que je suis bien dans la réalité avec tous ces touristes à l’air déprimé, entassés par centaine sur cette plage.

Mais alors quant est-il de ces deux filles dont l’image reste comme gravée au fond de ma rétine ? Je vais bientôt en avoir le cœur net, j’arrive en vue de la plage naturiste.

Elles sont bien là, étendues côte à côte sur le dos sur leur serviette, à l’endroit même où je les ai vu pour la première fois ce matin.
Beaucoup d’excitation dans cette nouvelle rencontre, mais aussi un peu de peur, maintenant que je suis revenu il va falloir que j’assume jusqu’au bout. J’ai élaboré un petit plan durant le repas de midi, je commence avec la première étape.

J’installe ma serviette non loin d’Elles, mais pas trop près non plus pour ne pas paraître suspect sur cette plage clairsemée. J’enlève mon t-shirt puis mon short de bain, en essayant de paraître le plus naturel possible, puis je me couche sur le dos.

Je ne peux m’empêcher de jeter des coups d’œil prolongés dans leur direction, et forcément ce qui devait arriver arriva, je suis contraint de me retourner sur le ventre pour masquer une partie de mon anatomie devenu encombrante.

Elles sont légèrement plus bas sur la plage et Elles n’ont donc pas pu voir mon manège puisque Elles n’ont pas tourné la tête, mais maintenant sur le ventre je ne peux qu’observer le haut de la plage, et je remarque un couple de retraités, nus également, qui m’observent et qui ont dû très bien comprendre la raison de ma présence ici. En voyant que je regarde dans leur direction, ils me rendent un sourire complice.

Étape suivante, la plus compliquée certainement, l’approche. Ayant visualisé mentalement toutes sortes d’images plus horribles les unes que les autres, mon sexe a retrouvé une forme plus pudique, pour un temps en tout cas. Je me lève et me dirige vers Elles.

Arrivé à leur niveau, je me racle la gorge et en essayant de prendre mon meilleur accent anglais je leur dis :

— Excuse me, you look really beautiful, can I take a picture of you ?

Un peu surprise mais nullement gênée, la fille la plus proche de moi me répond dans un anglais impeccable.

— Oh well… sure, go ahead.
— Great, thank you !

Je pars à grandes enjambées prendre mon appareil photo que j’ai laissé avec mes affaires, je les entends chuchoter entre Elles dans mon dos, mais Elles s’arrêtent dès que je fais demi-tour pour les rejoindre.
Je me place à leurs pieds et dégaine mon appareil. Je prends plusieurs photos sous divers angles, Elles me laissent faire sans broncher, et au contraire Elles ont même l’air d’y prendre goût.

Je sens mon sexe gonfler de plus en plus et il finit par se relever irrémédiablement. Elles ont forcément dû le remarquer, et Elles continuent de jouer avec moi. Elles prennent des poses de plus en plus suggestives, Elles finissent même par s’embrasser et s’enlacer. Je bande comme jamais, je n’ai qu’une envie c’est de leur sauter dessus, mais je sens soudain le regard des autres personnes sur la plage qui sont tous braqués sur moi.

Je prends conscience de la situation dans laquelle je me suis mise, les deux filles comprenant ma gêne pouffent de rire. Je retourne aussitôt vers ma serviette et je me couche bite contre terre, un peu honteux. Je fais le mort pour me faire oublier.

Cette fois ci le regard de ces voisins de plage suffit à me faire débander très vite, et je peux me retourner rapidement sur le dos pour profiter un peu de ce soleil. Les yeux fermés, je ne vois pas arriver une des deux filles qui vient se placer à côté de moi et me toucher l’épaule pour m’informer de sa présence.

Elle est accroupie avec un genou à terre juste à côté de moi, je distingue clairement ses grandes lèvres légèrement ouvertes dans cette position. Elle me demande :

— Hey, can we see the pictures you have taken please ?
— Oh yes, of course.

Je n’ai pas vraiment le choix, je peux difficilement leur refuser après ce qu’Elles m’ont montré. Pourquoi veulent-Elles voir les photos ? Pour les supprimer maintenant qu’Elles se sont bien amusées avec moi ?
Je suis rentré dans leur jeu, il faut que j’aille au bout, je lui tends mon appareil photo.

Elle repart s’asseoir à côté de son amie, et ensemble Elles regardent les photos sur le petit écran de l’appareil. Je les attends s’esclaffer et glousser devant chaque photo, comme deux adolescentes qu’Elles ne sont pourtant plus. Elles échangent aussi quelques mots à voix basse, et je crois discerner une ou deux phrases, alors je me rapproche d’Elles comme tout à l’heure et je leur demande :

— Excuse me, did you just said « T’es trop belle » ?
— Yes.
— But then you’re French ?
— Indeed !
— Oh wow, so do I !

Ça alors ! Des françaises ! C’est pourtant pas courant dans le coin…
Je m’assieds à côté d’elle et on discute quelques minutes. J’apprends qu’Elles sont parties toutes les deux en vacances en amoureuses, et profitent des plages naturistes bulgares très peu fréquentées. La plus jeune se prénomme Chloé, la plus âgée Mathilde. Quelques années à peine les séparent, Elles doivent être autour des 25 ans.

Elles me rendent mon appareil photo et je retourne bronzer sur ma serviette, ravi d’avoir pu faire plus ample connaissance avec Elles. Une dizaine de minute plus tard, Elles quittent les lieux, et je ne m’attarde pas plus.

***

A l’hôtel le lendemain matin, je prends l’ascenseur pour descendre petit-déjeuner, ma chambre étant au dernier étage. Il descend d’un étage à peine et s’immobilise au niveau inférieur. Les portes s’ouvrent et, Ô surprise, Mathilde et Chloé sont sur le palier prêtes à rentrer dans l’ascenseur. Je m’écarte contre une paroi pour les laisser rentrer.

— Bonjour.
— Bonjour, me répondent-Elles en cœur.

C’est la première fois que je les vois habillées, enfin pour ainsi dire parce qu’Elles n’ont toutes les deux qu’une serviette nouée au dessus des seins en guise de vêtement, probablement sans rien en-dessous si leur destination est la plage naturiste comme je l’imagine.

— Je ne savais pas que vous étiez dans cet hôtel aussi.
— Oui, on est arrivées il y a une semaine déjà.
— Je voulais vous dire, si vous avez besoin de quelque chose, ma chambre est juste au dessus, au dernier étage.

Elles se lancent un regarde complice, et Mathilde me répond :

— Peut-être que tu ne l’as pas compris hier, mais on est lesbiennes, on va pas venir te sauter dessus hein.
— Oui oui j’ai bien compris… Non je voulais dire, entre français ici loin de chez nous on peut s’entraider au besoin.
— T’as raison, c’est gentil de proposer, me dit Chloé avec un magnifique sourire qui éclaire ma matinée pourtant déjà bien ensoleillée.

Je leur souhaite une bonne journée et je les laisse en bas dans le hall d’entrée.

***

Les jours passent et je ne croise plus les deux françaises, pour mon grand malheur.

Le dernier soir arrivent déjà, nous sortons manger sur la terrasse d’un restaurant en bord de plage. Aussi surprenant que cela puisse paraître, le restaurant est complètement vide ce soir, seul un couple est assis à deux tables de la nôtre, mais en termine avec le dessert quand nous arrivons.

Il n’y a donc pas grand chose à observer. D’un côté la mer que nous avons vu et revu ces derniers jours, de l’autre le personnel de service. Le choix est vite fait !
Il y a en effet une magnifique serveuse qui ne s’occupe que de nous.
A peu près mon âge, une longue chevelure rousse qui lui tombe sur les épaules, un regard perçant avec ses beaux yeux gris, et des formes généreuses bien que peu mises en avant par la tenue vestimentaire de rigueur pour le service.

Elle passe l’ensemble du repas à discuter avec un de ses collègues quand elle ne nous sert pas, à une dizaine de mètre de nous. Je la surprends une ou deux fois qui regarde dans ma direction, et elle détourne aussitôt le regard.
J’aimerais tant lui dire combien je la trouve jolie et lui proposer de faire connaissance si elle le souhaite, mais la situation me le permet difficilement.

Le seul moyen que je trouve pour lui dire deux mots c’est de lui laisser un petit message, elle est la dernière serveuse que je vois dans la pièce, ça ne peut être qu’elle qui débarrassera notre table.
Je prends le dépliant qui trône au milieu de la table avec la liste des glaces et des cocktails proposés, et discrètement je note :

Sunset Hotel, Room 504.
Come tonight, tomorrow will be too late.

En partant je pose le dépliant en évidence sur ma chaise. La serveuse vient à notre rencontre pour nous saluer quand nous quittons la terrasse, je la gratifie d’un petit clin d’œil, un sourire au coin des lèvres.

Je quitte le restaurant, non sans avoir jeter un coup d’œil dans mon dos pour voir si la serveuse a vu le petit mot que je lui ai laissé. Elle a rangé les chaises correctement sous la table, j’espère qu’elle a vu ce qui était noté sur le dépliant.

***

Arrivés à l’hôtel, je me libère au plus vite de mes obligations familiales, prétextant un besoin de sommeil important avant le grand départ du lendemain, et je grimpe à grandes enjambées au 5ème étage, l’ascenseur étant utilisé par d’autres touristes montant leurs bagages.
Je mets un peu d’ordre dans la chambre, et je fais un tour dans la salle de bain pour m’assurer que je suis toujours présentable, dans le maigre espoir que la serveuse accepte mon invitation pour le moins osée.

Dix minutes plus tard on toque à la porte. Heureusement surpris, je me dis que la jolie serveuse n’a pas mis beaucoup de temps à se décider et à trouver la chambre.

Ô surprise, en ouvrant la porte je me retrouve nez à nez avec deux paires de seins qui me fixent d’un air sévère. Je soutiens leur regard perçant l’espace d’un instant puis je lève la tête et je vois Mathilde et Chloé, passablement éméchées toutes les deux, bouteilles d’alcool à la main.

Elles ne portent pour simple habit qu’un paréo fleuri noué autour de la taille, légèrement transparent, qui ne cache rien de leur intimité malgré la lumière blafarde du plafonnier. Leur beauté contraste avec la décoration du couloir plutôt morne.

Je les invite à rentrer dans la chambre, qui elle est plus présentable.

— Je croyais que vous ne vouliez pas me sauter dessus.
— Chloé a envie de se mettre à l’exhibitionnisme… , commence Mathilde.
— Mais non c’est toi qui veux te donner en spectacle ! rétorque aussitôt l’intéressée.

Elles pouffent toutes les deux de rire, puis Mathilde enchaîne :

— Bon en fait on voudrait bien que quelqu’un nous regarde, et comme t’es le seul qui parle français dans le coin on a pensé que ça serait plus simple avec toi.

Je ne suis pas sûr de bien comprendre où Elles veulent en venir, alors naïvement je leur demande :

— Euh d’accord, mais regarder quoi ?
— Fais pas l’innocent, t’as très bien compris ! répond Mathilde en haussant un peu la voix.
— Mais attention, il y a une seule règle à respecter, tu peux regarder autant que tu veux, mais à aucun moment tu ne peux nous toucher, renchérit Chloé qui s’efforce de garder un air sérieux malgré les effets de l’alcool pourtant évident.

J’ai du mal à croire ce que j’entends, mais j’essaye de garder mon calme et de paraître le plus désintéressé possible, même si dans ce registre là je ne dois pas être très crédible.

— Pas de problème, vous n’avez que m’attacher si vous n’avez pas confiance, dis-je sur le ton de la plaisanterie.

L’idée leur plaît immédiatement, et en une minute je suis assis et ligoté sur une chaise les mains dans le dos. Et Elles n’ont pas fait semblant, les nœuds sont très serrés et m’interdisent tout mouvement. Comme Elles n’ont rien trouvé de mieux que leur paréo pour m’attacher, Elles sont maintenant complètement nues et squattent mon lit sans vergogne.

Elles se désintéressent complètement de moi et s’asseyent en tailleur face à face. Elles restent quelques secondes à se regarder, yeux dans les yeux, sans bouger. Elles se rapprochent ensuite l’une de l’autre pour pouvoir se toucher plus facilement. Chloé vient poser ses mains sur la poitrine dressée de Mathilde, qui à son tour vient poser les siennes sur les seins parfaits de son amie, le tout toujours sans un mot.

Elles se caressent mutuellement les seins. Après quelques douces caresses pour se chauffer, Elles y vont toutes les deux de bon cœur, comme pour faire monter l’excitation de leur partenaire rapidement.
Les quatre paumes de main viennent enlacer et épouser les formes généreuses de ses 2 poitrines. Les tétons sont pincés, poussés et titillés dans tous les sens.

Je crois comprendre ce qu’Elles sont en train de faire, on dirait qu’Elles jouent à une sorte de « Je te tiens tu me tiens par la barbichette. », et en l’occurrence ici ça donnerait plutôt « Je te tiens tu me tiens par le bout des seins. ». Je me demande bien par contre ce qu’il adviendra de la première qui rira…

Comme répondant à un appel invisible, Elles descendent ensuite ensemble vers leur sexe. Toujours face à face et yeux dans les yeux, Elles se caressent les seins et la chatte l’une l’autre… quel spectacle fascinant ! Chloé a bien fait de m’attacher, autrement la tentation d’aller les voir de plus près aurait pu prendre le dessus.

Par contre un point auquel je n’avais pas pensé, c’est qu’en étant attaché je ne peux effectivement pas les toucher, mais je ne peux pas me toucher non plus !
Ces deux superbes filles venues frapper à ma porte à moitié nues n’est en fait qu’un cadeau empoisonné, parce que je sens que ça va être un vrai supplice de les voir s’amuser ainsi dans mon lit sans pouvoir toucher mon sexe qui gonfle et gonfle encore à l’intérieur de mon pantalon.

Les doigts de Mathilde frottent de plus en plus la chatte de son amante, et Chloé fini par gémir légèrement. Elle se rend aussitôt compte qu’elle a perdu et porte une main devant sa bouche pour cacher sa fausse déception. Elles partent aussitôt toutes les deux dans un long fou rire.
Puis Mathilde s’assied au bord du lit, face à moi et dit :

— Tu as perdu, viens ici, en tapotant ses cuisses.

Chloé, soumisse, a compris ce que sa partenaire attend d’elle et vient s’allonger sur le ventre sur les cuisses de Mathilde.

— Vilaine petite garce ! dit Mathilde en lui donnant plusieurs fessées appuyées.

Chloé crie à chaque claque qu’elle reçoit sur ses fesses, qui commencent à rougir.
Ça me parait criminel de frapper un si joli petit cul qui ne demande qu’à être aimé et caressé, mais ça fait sûrement parti de leur jeu.

Mathilde s’arrête enfin, mais elle n’en a pas fini pour autant avec Chloé, elle lui glisse quelques mots à l’oreille quand celle-ci se relève. Elle s’installe sur le ventre au centre du lit, ses avant-bras en guise d’oreiller et se remet aux bons soins de Chloé-les-fesses-rouges, qui en plus d’avoir été puni à l’instant va devoir s’occuper sa maîtresse.

Chloé s’installe à son tour sur le lit, assise à califourchon sur les fesses de Mathilde. Force est de constater qu’un peu de couleur sur ses fesses les font ressortir et les rendent encore plus appétissantes.
Elle se couche sur son amante pour lui mordiller les oreilles et l’embrasser dans le cou puis sur les épaules et le dos.

Elle commence par un massage des épaules, puis descend petit à petit le long de la colonne vertébrale pour arriver jusqu’au coccyx. Elle remonte avec des caresses le long des flancs de sa partenaire. Elle recommence plusieurs fois la boucle, caressant les épaules, descendant par le centre du dos puis remontant par les cotés, en appuyant de plus en plus ses gestes. Entre deux trajets elle lui réserve un intermède rempli de baisers dans le creux du dos. Qu’est ce que je ne donnerais pas pour prendre la place de Mathilde en ce moment…

Mathilde justement, toujours la tête sur ses avant-bras tourne son visage vers moi pour que je puisse y lire le plaisir qu’elle prend. C’est peut être ce qu’elle est venu chercher ici en se donnant ainsi en spectacle, voir que quelqu’un la dévisage en train de prendre son pied doit décupler son plaisir.
Mais par contre ça a pour effet secondaire de m’exciter encore plus. Quel supplice de voir ces deux déesses faire l’amour dans mon lit, sous mes yeux sans pouvoir ni les toucher ni me soulager de ma terrible érection. C’est presque de la torture !

Après plusieurs longues minutes de ce traitement qui fait littéralement ronronner Mathilde, Chloé recule et vient se mettre au bout du lit. Ainsi positionnée elle peut accéder aux longues jambes de son amante, et reproduire des caresses similaires à celles qu’elle a prodigué plus haut. Elle commence par les belles fesses de Mathilde qu’elle pousse de bas en haut pour accentuer la forme de ce cul qu’elle vient ensuite embrasser. Puis elle descend à nouveau avec ses mains, caressant les cuisses, les mollets, les chevilles et enfin les pieds de sa partenaire. Elle masse la plante de ces deux pieds et vient déposer un baiser au creux de chacun d’eux, avant de repartir caressant les jambes et les fesses qui sont sous elle.

De même, elle accentue de plus en plus ses caresses, pressant plus fermement les jambes et les fesses de Mathilde quand elle passe dessus. Elle fini par donner deux petits baisers à l’intérieur des cuisses de Mathilde, proche de son sexe, un de chaque côté. Puis Chloé s’allonge à nouveau sur Mathilde, en venant écraser sa poitrine dans le dos de son amante qui en frissonne de plaisir. Elle lui mordille encore les oreilles comme tout à l’heure.

Elle passe ensuite un bras dans son dos et vient glisser sa main entre ses cuisses. Avec ses longs doigts elle arrive même à atteindre l’entrejambe de Mathilde qui au contact de ces doigts éclaireurs – aventuriers – écarte naturellement les jambes. Je ne vois pas ce qui se passe précisément du haut de ma chaise, mais Chloé doit avoir atteint la chatte de Mathilde et elle doit avoir glissé une ou deux phalanges à l’intérieur, à moins qu’elle ne s’amuse avec la rosette de sa partenaire… en tout cas elle en profite au passage pour se frotter son propre sexe avec la paume de sa main puisqu’elle commence elle aussi à rugir de plaisir.

Mais la position n’est peut être pas très confortable, alors Elles se relèvent rapidement. Elles s’embrassent à pleine bouche, puis sans cesser de s’embrasser Mathilde s’allonge sur le dos, la tête légèrement relevée par l’oreiller.
Chloé continue de s’occuper de sa maîtresse, pratiquement sans rien recevoir en retour en apparence, mais elle n’a pas du tout l’air embêtée pour autant, au contraire elle me semble tout aussi excitée et proche d’un orgasme que sa bien aimée.

Chloé caresse les seins de Mathilde, et en plaquant les mains de chaque côté du torse de sa partenaire et les pouces sous les seins, la poitrine de Mathilde qui s’était naturellement aplanie lorsqu’elle s’est allongée retrouve du relief (sans recourir à des lunettes 3D), et elle n’a plus qu’à venir butiner les tétons durcis par une excitation proche de son paroxysme.
Mathilde gémit doucement avant de se mordre la lèvre inférieure et se cambrer, enfonçant un peu plus ses tétons dans la bouche avide de sa partenaire.

Chloé vient ensuite glisser une main vers l’entrejambe de Mathilde sans cesser de la téter, tel une petite chatte s’accrochant à tout prix à sa mère.
Mathilde, inactive jusqu’à là ne résiste plus à l’envie de se caresser à son tour, d’abord les seins, puis elle glisse une main pour guider celle de sa partenaire qui s’occupe déjà activement de son sexe, l’incitant à y aller plus franchement.

Je ne l’avais pas remarqué la dernière fois sur la plage, mais Mathilde a un Mont de Vénus vraiment proéminent, qui illustrerait sans problèmes des campagnes marketing pour la promotion de l’alpinisme et qui rencontrerait un succès certain.

Chloé se relève un instant pour contempler le corps surexcité de la femme sur laquelle elle est assisse et qui, ne sentant plus son contact continue de se stimuler toute seule. Elle décide que le moment est venu d’aller plus loin, alors elle se déplace, écarte les jambes de son amante et vient se placer entre celles ci.
Puis, telle une abeille émerveillée devant un plant de lavande encore couvert de rosée un matin ensoleillé de juin, elle plonge en piqué butiner cette fleur dont s’échappe un enivrant parfum de chatte en chaleur.

Elle s’aide de ses mains pour décapuchonner le clitoris et accéder au Graal, qu’elle lèche avec voracité. Avec ses mains elle remonte jusqu’aux seins de sa partenaire en caressant au passage tout son corps bouillant, et reprend les caresses de la poitrine là où elle les avait laisser, en gardant toujours sa bouche plaquée entre les cuisses de son amante.

Mathilde gémit maintenant pratiquement sans interruption, elle est toute proche de l’orgasme. Elle ouvre une dernière fois les yeux pour me regarder furtivement, écarte ses bras en croix et s’agrippe fermement au drap. Elle referme les yeux et se fige légèrement cambrée. Elle serre les dents et reste silencieuse.

Chloé continue à prodiguer du plaisir à Mathilde, qui d’un seul coup explose. Elle cri, elle hurle son bonheur, laissant entendre sa joie au reste de l’hôtel.
Chloé ne cesse pas son cunnilingus pour autant, au contraire elle semble mettre encore plus de force et de passion dans ses gestes. Ainsi offerte à une femme amoureuse d’elle qui lui montre l’étendue de son amour, Mathilde ne peut que jouir et jouir encore. Ses cris baissent parfois un peu, mais remontent aussitôt, si bien que je me demande si le personnel de l’hôtel ne va pas monter pour voir si on n’est pas en train d’égorger quelqu’un dans ma chambre.

Quand elle est finalement rassasiée, au moins temporairement, Mathilde invite Chloé à venir s’allonger à côté d’elle. Elles s’embrassent tendrement et se chuchotent à l’oreille des mots que je ne peux entendre.
À peine Mathilde a repris son souffle qu’Elles partent toutes deux dans une roulade effrénée. Elles finissent complètement emmêlées l’une l’autre et sont en travers du lit, leur tête de mon côté.

Elles sont face à face, couchées sur le flanc, et Elles se serrent fort pour être collées ensemble. Leur langue sont aussi collées, leur poitrine se caressent mutuellement et Elles ont chacune placé une cuisse entre celles de leur partenaire, de sorte que chaque mouvement entraîne une caresse sur leur pubis. Serrées l’une contre l’autre Elles se frottent de plus en plus vide et de plus en plus fort, comme pour ne former plus qu’un seul corps.

Salive et cyprine s’échange sans discontinuer, et je me demande si les poils pubiens de ces deux demoiselles ne sont pas pris d’une soudaine envie d’agir selon leur propre chef. En effet, j’ai l’impression qu’ils bougent indépendamment des mouvements de leur propriétaire, ceux de Mathilde essayant d’agripper ceux de Chloé et inversement, et quand une jonction est faite ils se nouent entre eux pour rapprocher ces deux sexes brûlants de désir.
Le délire est une des conséquences de la torture, je me demande si je ne suis pas en train de devenir fou à regarder ces deux splendides nymphes tout droit descendues de l’Olympe faire l’amour sous mon nez, tout en restant immobile telle une statue, pétrifié par le regard de Méduse.

Elles se redressent sur le lit, toujours enlacées avec une jambe chacune sous l’autre pour garder leur sexe en contact. Elles se quittent dans un dernier baiser, et viennent s’appuyer derrière Elles avec leurs mains. Elles sont face à face, leur corps cambré placent leur sexe au centre du débat.
Dans cette position sportive Elles peuvent se frotter le clitoris et le pubis encore mieux que tout à l’heure. Leur deux poitrines s’observent, et oscillent en suivant les mouvements rapides de Chloé et Mathilde.

Excitées comme Elles sont, Elles ne tardent pas à fermer les yeux pour se laisser aller à leur plaisir, non s’en avoir jeter un coup d’œil dans ma direction avant, comme Mathilde tout à l’heure. Les gémissements sont de plus en plus forts, ils se transforment bientôt en cris quand Elles arrivent finalement toutes les deux à l’orgasme.

Les deux femmes continuent à se donner du plaisir mutuel pendant de longues minutes. Elles terminent couchées l’une sur l’autre, enlacées et certainement exténuées.

Je leur laisse quelques minutes pour souffler, mais ne les voyant pas se relever j’ai peur qu’Elles s’endorment dans mon lit, me laissant passer la nuit attaché sur la chaise. Je suis un peu gêné de les déranger après ce qu’Elles m’ont laissé voir, mais c’est ma chambre, et il faudrait que je dorme un peu quand même avant le voyage de retour demain, même si j’ai d’autres plans à court terme.

— Excusez moi les filles, est-ce que vous pouvez me détacher maintenant ?

Elles prennent leur temps pour se relever puis Chloé me répond :

— Ça t’a plus au moins ?

Question rhétorique s’il en est…

Chloé vient me libérer, elle s’assied à califourchon sur mes cuisses face à moi, et elle m’embrasse furtivement sur les lèvres avant de me glisser à l’oreille :

— C’est bien tu as été sage.

Hum oui, disons que j’ai pas eu trop le choix, ligoté que j’étais… Elle se rapproche un peu plus de moi et passe ses mains dans mon dos pour défaire les nœuds qui retiennent mes mains. Ses seins viennent pratiquement frappés mon visage, je me mords les lèvres fermement pour ne pas les prendre dans ma bouche. Ce n’est pourtant pas l’envie qui me manque, mais je respecte mon engagement jusqu’au bout. Chloé doit se rendre compte de la situation dans laquelle elle me place, et elle continue de jouer avec moi, prenant son temps pour me libérer.

Mathilde observe la scène d’un œil attentif, et de peur que l’un de nous fasse une bêtise elle vient prendre Chloé par la main pour l’entraîner vers la salle de bain.

Elles partent dans la douche, et s’enferment pour ne pas que je les rejoigne. Libéré je peux enfin me lever et je me dirige vers la salle de bain, je colle mon oreille à la porte pour essayer de deviner ce qui se trame dans la douche, mais malheureusement le bruit de l’eau qui coule couvre les sons que pourraient faire les deux demoiselles qui s’y trouvent.

J’éteins la lumière, m’allonge sur le lit pour essayer de me reposer, mais j’ai trop d’images en tête, les yeux à peine fermés que je vois la langue de Chloé explorer le sexe ouvert de son amante ou sucer avidement ses tétons.
Mon sexe n’a pas dégonflé depuis tout à l’heure, je baisse mon jean puis mon caleçon pour enfin lui donner l’espace dont il avait besoin pour s’épanouir complètement. Que ça fait du bien après tant d’attente dans la douleur.

Dans cette situation je n’ai d’autres choix que de me branler pour me soulager, en me repassant dans la tête les images de Chloé et Mathilde. Déjà énormément excité, il ne me faut pas longtemps pour jouir abondamment sur mon ventre.

A suivre, la nuit n’est pas finie.

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